Salut, moi c’est Clémence !

Ce blog, je l’ai créé comme un espace simple et vrai.

Un endroit où je partage ce que j’apprends, ce que je teste, ce qui m’aide vraiment (et ce qui ne m’aide pas du tout).

Pas de grands discours, pas de jargon : juste du vécu, des découvertes, et l’envie d’aider celles qui, comme moi, cherchent à mieux se comprendre. Si tu veux des conseils accessibles, des retours d’expérience honnêtes, ou juste te sentir un peu moins seule dans ce que tu traverses, tu es au bon endroit.

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Fatigue menstruelle : mon parcours intime face à des règles abondantes

Je me souviens du matin où j’ai craqué, en larmes, devant ma tasse de café. La fatigue m’écrasait tellement que tenir debout relevait du défi. À 31 ans, j’avais l’impression d’en avoir 80. Chaque mois, c’était la même chute libre : mes règles arrivaient, et mon énergie disparaissait. Pourtant, personne ne comprenait vraiment ce que je vivais – moi la première.

Une fatigue incomprise pendant des années

Moi, Clémence, 32 ans, je traîne cette fatigue cyclique depuis plus de dix ans. Dès la vingtaine, j’ai remarqué qu’à chaque période de mes règles, un épuisement intense me submergeait. Pas juste un petit coup de mou : je tombais de sommeil, incapable de me concentrer, avec des vertiges dès que je me levais trop vite. J’avais beau dormir plus, boire des smoothies verts, rien n’y faisait. Autour de moi, on minimisait : « Tu es juste stressée », « Faut dormir plus ». J’ai tout entendu, et ces remarques m’ont longtemps fait douter de moi. Est-ce que j’exagérais ? Était-ce “dans ma tête” comme certains semblaient le suggérer ?

Le pire, c’est l’absence de diagnostic clair. Je suis allée voir des médecins à plusieurs reprises. Analyses de sang, examen de routine… Rien d’anormal selon eux. « Tout est dans les normes, vous devez juste vous reposer davantage » qu’ils disaient. On m’a conseillé de revoir mon hygiène de vie, de réduire le stress. J’en suis ressortie frustrée, avec l’impression d’être une paresseuse incomprise. En réalité, j’allais découvrir plus tard que j’étais loin d’être un cas isolé. Un quart des femmes en âge de procréer auraient des règles anormalement abondantes, et ce type de saignement excessif peut provoquer une carence en fer se traduisant par une vraie fatigue physique (et même un essoufflement anormal) . Mais à l’époque, j’ignorais tout de ce lien entre mes règles et mes globules rouges.

Une fatigue incomprise pendant des années

Moi, Clémence, 32 ans, je traîne cette fatigue cyclique depuis plus de dix ans. Dès la vingtaine, j’ai remarqué qu’à chaque période de mes règles, un épuisement intense me submergeait. Pas juste un petit coup de mou : je tombais de sommeil, incapable de me concentrer, avec des vertiges dès que je me levais trop vite. J’avais beau dormir plus, boire des smoothies verts, rien n’y faisait. Autour de moi, on minimisait : « Tu es juste stressée », « Faut dormir plus ». J’ai tout entendu, et ces remarques m’ont longtemps fait douter de moi. Est-ce que j’exagérais ? Était-ce “dans ma tête” comme certains semblaient le suggérer ?

Le pire, c’est l’absence de diagnostic clair. Je suis allée voir des médecins à plusieurs reprises. Analyses de sang, examen de routine… Rien d’anormal selon eux. « Tout est dans les normes, vous devez juste vous reposer davantage » qu’ils disaient. On m’a conseillé de revoir mon hygiène de vie, de réduire le stress. J’en suis ressortie frustrée, avec l’impression d’être une paresseuse incomprise. En réalité, j’allais découvrir plus tard que j’étais loin d’être un cas isolé. Un quart des femmes en âge de procréer auraient des règles anormalement abondantes, et ce type de saignement excessif peut provoquer une carence en fer se traduisant par une vraie fatigue physique (et même un essoufflement anormal) . Mais à l’époque, j’ignorais tout de ce lien entre mes règles et mes globules rouges.

Multivitamines, magnésium… j’ai tout essayé (ou presque)

Face à l’incompréhension générale, j’ai pris les choses en main et multiplié les tentatives pour retrouver la forme. Liste (non exhaustive) de mes essais :

Cures de multivitamines du commerce, type complexes vitaminés anti-fatigue. Je me disais que ça comblerait peut-être une carence quelconque. Résultat : un léger mieux pendant quelques jours, puis rechute dans la fatigue.

Magnésium marin en ampoules et vitamines B6, sur conseil d’une naturopathe. Censé aider en cas de stress et de fatigue nerveuse… Honnêtement, je n’ai pas vu de différence flagrante.

Alimentation “spéciale règles” : pendant un temps, j’ai forcé sur les lentilles, épinards, steak saignant, etc. Certes, manger équilibré m’a fait du bien globalement, mais ça n’a pas suffi à éradiquer mes coups de barre monumentaux en période de règles.

Parcours médical classique : mon médecin m’avait finalement prescrit un supplément de fer (le fameux Tardyferon, pour ne pas le nommer). Et là, bonjour les dégâts : nausées, maux de ventre, constipation… J’ai vite arrêté ce traitement, qui me vidait autant que mes règles ! Ces effets indésirables ne sont pas rares avec les compléments de fer classiques (douleurs abdominales, constipation, diarrhées, nausées, etc. sont fréquents) . Mon estomac ne le supportait pas, et j’en étais quitte pour revenir à la case départ.

Médecines douces et remèdes de grand-mère : tisanes d’ortie, réputée riche en fer, spiruline en paillettes dans mon jus d’orange du matin (pour la vitamine C qui aide à absorber le fer), compléments de plantes adaptogènes… J’ai exploré des pistes plus naturelles. Malheureusement, soit les doses étaient trop faibles pour combler ce que je perdais, soit je n’ai pas été assez patiente. En tout cas, l’effet n’était pas au rendez-vous.

Chaque mois, c’était le même scénario. Je me sentais épuisée, déprimée aussi parfois, parce que ne pas avoir d’énergie pour les choses simples de la vie, c’est moralement très dur. Et à chaque fois que j’essayais d’en parler, on me sortait les phrases qui blessent : « On est toutes fatiguées pendant nos règles, tu sais… » ou « C’est dans ta tête, pense à autre chose ». J’avais presque fini par accepter cette fatalité : peut-être que “c’est juste comme ça”, être une femme impliquait de subir ce cycle de fatigue. J’enviais secrètement celles qui semblaient traverser leurs menstruations comme une fleur tandis que moi je comptais les heures jusqu’à pouvoir me recoucher.

Multivitamines, magnésium… j’ai tout essayé (ou presque)

Face à l’incompréhension générale, j’ai pris les choses en main et multiplié les tentatives pour retrouver la forme. Liste (non exhaustive) de mes essais :

Cures de multivitamines du commerce, type complexes vitaminés anti-fatigue. Je me disais que ça comblerait peut-être une carence quelconque. Résultat : un léger mieux pendant quelques jours, puis rechute dans la fatigue.

Magnésium marin en ampoules et vitamines B6, sur conseil d’une naturopathe. Censé aider en cas de stress et de fatigue nerveuse… Honnêtement, je n’ai pas vu de différence flagrante.

Alimentation “spéciale règles” : pendant un temps, j’ai forcé sur les lentilles, épinards, steak saignant, etc. Certes, manger équilibré m’a fait du bien globalement, mais ça n’a pas suffi à éradiquer mes coups de barre monumentaux en période de règles.

Parcours médical classique : mon médecin m’avait finalement prescrit un supplément de fer (le fameux Tardyferon, pour ne pas le nommer). Et là, bonjour les dégâts : nausées, maux de ventre, constipation… J’ai vite arrêté ce traitement, qui me vidait autant que mes règles ! Ces effets indésirables ne sont pas rares avec les compléments de fer classiques (douleurs abdominales, constipation, diarrhées, nausées, etc. sont fréquents) . Mon estomac ne le supportait pas, et j’en étais quitte pour revenir à la case départ.

Médecines douces et remèdes de grand-mère : tisanes d’ortie, réputée riche en fer, spiruline en paillettes dans mon jus d’orange du matin (pour la vitamine C qui aide à absorber le fer), compléments de plantes adaptogènes… J’ai exploré des pistes plus naturelles. Malheureusement, soit les doses étaient trop faibles pour combler ce que je perdais, soit je n’ai pas été assez patiente. En tout cas, l’effet n’était pas au rendez-vous.

Chaque mois, c’était le même scénario. Je me sentais épuisée, déprimée aussi parfois, parce que ne pas avoir d’énergie pour les choses simples de la vie, c’est moralement très dur. Et à chaque fois que j’essayais d’en parler, on me sortait les phrases qui blessent : « On est toutes fatiguées pendant nos règles, tu sais… » ou « C’est dans ta tête, pense à autre chose ». J’avais presque fini par accepter cette fatalité : peut-être que “c’est juste comme ça”, être une femme impliquait de subir ce cycle de fatigue. J’enviais secrètement celles qui semblaient traverser leurs menstruations comme une fleur tandis que moi je comptais les heures jusqu’à pouvoir me recoucher.

Comment une simple algue a fini par bousculer mes certitudes…

Un soir, déterminée à trouver une vraie solution, j’ai écumé les forums santé (coucou Doctissimo et compagnie) à la recherche de témoignages semblables au mien. Je suis tombée sur une discussion où plusieurs femmes parlaient d’un produit qui avait changé la donne pour leur fatigue liée aux règles : une certaine Spiruline Fer de la marque Algorigin. Sur le coup, j’étais sceptique. La spiruline, je connaissais de nom – cette algue bleu-vert en poudre que les adeptes de nutrition healthy adorent. D’ailleurs, j’en avais même essayé de la spiruline “classique” sans grand effet. Alors spiruline enrichie en fer, ça sonnait un peu trop beau pour être vrai.

Spiruline Fer Algorigin:

un super-aliment 100% naturel enrichi en fer qui a attiré mon attention lors de mes recherches personnelles. Je n’y croyais pas trop, mais j’étais à court d’options… J’ai creusé un peu pour comprendre ce que c’était exactement. J’ai découvert que cette spiruline est cultivée dans un milieu enrichi en fer, ce qui la rend 6 fois plus riche en fer que la spiruline standard. En seulement 4 comprimés par jour, elle apporte 93% des apports journaliers recommandés en fer, avec un fer hautement assimilable et sans effets secondaires digestifs d’après la description du produit . Pour moi qui ne supportais pas le fer en gélule classique, lire “aussi bien assimilé que le fer de la viande, sans troubles digestifs” a piqué ma curiosité.

Évidemment, mon réflexe a été de douter : encore un complément miracle sur le papier…. Et puis, le prix m’a un peu freinée : environ 35 euros la boîte de 120 comprimés (un mois de cure), ce n’est pas rien dans un budget. J’avais déjà claqué pas mal d’argent dans des suppléments inefficaces. Mais à ce stade, j’étais prête à tenter ma chance une dernière fois, avec un produit naturel qui avait de bons retours et promettait de ne pas me rendre malade. Je me suis dit : « Allez, au pire ça ne me fait rien, au mieux ça me change la vie ». J’ai commandé ma première boîte de Spiruline Fer Algorigin sans en attendre monts et merveilles, juste avec l’espoir d’avoir un petit mieux.

Le changement : enfin de l’énergie, tout en douceur

Honnêtement, les premiers jours de prise, je n’ai pas ressenti grand-chose. Pas d’effets secondaires, c’est déjà ça (zéro nausée, aucun mal de ventre – victoire !). J’ai commencé avec 4 comprimés par jour, comme recommandé, en les prenant le matin avant le petit-déjeuner. Ils n’ont pas de goût particulier et se gobent assez facilement avec un verre d’eau.

La première différence, je l’ai notée vers la fin de mon deuxième cycle sous Spiruline Fer. D’habitude, dès le deuxième jour de mes règles, je suis KO technique : envie de rien, difficultés à sortir du lit, brouillard dans la tête. Là, je me souviens m’être réveillée un matin en me sentant… à peu près normale. C’était presque bizarre de ne pas se sentir complètement vidée alors que j’étais en plein dans ma période rouge. J’avais un peu plus d’entrain, j’ai même fait une promenade ce jour-là, alors qu’en temps normal j’aurais laissé tomber toute activité non indispensable. Sur le coup, j’ai pensé que c’était peut-être psychologique, l’effet placebo de “je prends un complément donc je vais mieux”. Mais les semaines ont passé et le schéma s’est répété : mes cycles suivants ont été de moins en moins éprouvants.

Ce que j’ai adoré avec Spiruline Fer, c’est le côté progressif et stable de l’amélioration. Ce n’est pas un coup de boost artificiel comme peut l’être la caféine, c’est plus subtil. Je me sentais juste, jour après jour, un peu moins fatiguée qu’avant. Mon “brouillard mental” s’est dissipé doucement, j’étais plus alerte au travail, moins essoufflée en montant les escaliers du métro. Même mon entourage a noté que j’avais meilleure mine. Franchement, j’avais presque oublié ce que ça faisait de se sentir en forme “normalement” en phase prémenstruelle.

Autre point ultra important : aucun effet secondaire pour moi. Je le répète, mais ayant eu de mauvaises expériences avec le fer classique, c’était ma crainte numéro un. Ici, rien à signaler – d’ailleurs c’est aussi l’argument phare du produit, un fer bien toléré par l’organisme , et je confirme que c’est 100% vrai dans mon cas. Pas de maux de ventre, pas de constipation (youpi !), pas de dégoût non plus parce que c’est de l’algue : les comprimés sont neutres, pas d’odeur d’algue ou de goût bizarre.

Est-ce que tout est parfait ? Évidemment, non. Ce que j’aime un peu moins, c’est la contrainte de devoir prendre 4 à 5 comprimés par jour. Parfois, j’en oubliais un ou deux si j’étais pressée le matin. Il m’est arrivé d’en prendre 5 pendant ma semaine de règles pour être sûre de ne pas flancher (c’était l’astuce donnée par une autre utilisatrice sur un forum : elle prenait une dose un peu plus forte les jours “à risque”, avec l’accord de son doc). Ce n’est pas insurmontable, on peut les avaler en une prise, mais c’est vrai que comparé à un seul cachet de fer standard, ça fait du nombre. Disons que c’est le prix à payer pour un supplément naturel et doux. Et parlant de prix : oui, cela représente un budget mensuel. Pour ma part, j’estime que ça revient à peu près au même coût que toutes les boissons énergisantes, cafés et autres compléments que je ne prends plus depuis… Donc je relativise : j’investis dans ma santé, et le bénéfice en qualité de vie en vaut la dépense.

MON FAV

MON FAV

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Spiruline FER BIO

Rated 4.9 / 5

Utilisde mon code CLEMENCE10 pour 10% de remise sur ta première commande (expire bientôt!)


Ce que j'aime

Fer facile à absorber

Naturel et végétal

Pas d’effets secondaires

Idéal en cas de règles abondantes

Aide réelle sur l’énergie

Bien toléré par les estomacs sensibles

Marque sérieuse et transparente

Ce que j'aime moins

Il faut prendre 4 comprimés par jour

Demande un peu de patience

Parfois en rupture de stock

Juste une petite précision : si tu achètes un produit via certains liens présents dans mes articles, il peut m’arriver de toucher une petite commission. Ça ne change rien pour toi et ça me permet de garder ce blog sans pubs (et surtout de continuer à tester plein de produits pour te donner des avis honnêtes).

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Briser le tabou de la fatigue menstruelle

Aujourd’hui, cela fait plus d’un an que j’ai intégré Spiruline Fer dans ma routine, et je revis. Ce n’est pas magique : je reste humaine, je peux être fatiguée pour d’autres raisons (nuits trop courtes, stress du boulot, etc.). Mais cette fatigue cyclique injuste qui me plombait chaque mois a quasiment disparu. J’ai retrouvé un équilibre que je n’osais plus espérer. Et surtout, j’ai gagné en compréhension de mon propre corps.

J’ai appris que je n’étais ni folle ni faible. Il y avait une raison bien réelle à mon épuisement : mes règles abondantes me faisaient perdre du fer en quantité, et mon corps n’arrivait pas à suivre. Quand on perd du sang chaque mois, on perd du fer contenu dans l’hémoglobine, tout simplement – et si on ne le remplace pas suffisamment, bonjour la carence et l’anémie ferriprive derrière. Les symptômes que j’endurais (fatigue persistante, essoufflement, tête qui tourne, pâleur) correspondaient en fait pile-poil à ceux d’une anémie par carence en fer, rien d’étonnant . Ce qui m’énerve rétrospectivement, c’est que personne ne m’ait prise au sérieux plus tôt. Ni moi, ni les médecins que j’ai consultés n’avons pensé tout de suite à faire le lien avec le fer et les règles. On vit dans une société où la fatigue des femmes est banalisée : “tu es fatiguée, c’est normal, tu as tes règles”. Sauf que non, ce n’est pas normal d’être épuisée au point de pleurer ou de s’évanouir ! C’est courant, malheureusement, mais ça mérite qu’on s’y attarde. Saviez-vous qu’on estime qu’une femme sur deux fera face à une carence en fer au cours de sa vie ? Et pas seulement des petits coups de fatigue physique – ça peut aussi miner le moral et affaiblir l’immunité . Derrière nos “ragnagnas” comme on dit familièrement, il y a de vrais enjeux de santé qu’on a trop tendance à passer sous silence.

Mon parcours m’a rendue plus engagée sur le sujet. Je parle ouvertement de fatigue menstruelle autour de moi maintenant, au boulot entre collègues femmes, en famille, sur les réseaux. Je conseille à toutes celles qui se reconnaissent dans mon histoire de ne pas rester dans le flou. N’hésitez pas à demander un bilan sanguin complet (avec dosage de ferritine, pas juste l’hémoglobine standard) pour voir où en sont vos réserves de fer. Informez-vous, insistez si on vous répond que “tout va bien” alors que clairement, non, tout ne va pas bien. Nous connaissons notre corps mieux que quiconque – apprenons à l’écouter et à le défendre.

Je ne dis pas que la solution sera la même pour tout le monde. Chaque corps, chaque parcours est différent. Mais dans mon cas, j’ai trouvé mon équilibre grâce à un complément naturel qui convient à mon organisme et compense mes pertes de fer mensuelles. Peut-être que pour vous ce sera autre chose, ou peut-être que Spiruline Fer pourra vous aider aussi, qui sait. L’important, c’est de ne pas se résigner à subir en silence. On ne devrait pas avoir à choisir entre “être forte et serrer les dents” et “passer pour une fainéante” lorsqu’on est épuisée pendant nos règles.

Aujourd’hui, je peux enfin dire que je ne culpabilise plus : ma fatigue menstruelle n’était pas une faiblesse personnelle, ni une fatalité sans explication. C’était un signal de mon corps qui manquait de quelque chose d’essentiel. En prenant soin de ce besoin, j’ai repris le contrôle sur ma vie de femme active. Et j’espère sincèrement que mon témoignage pourra aider d’autres Clémence en devenir, d’autres femmes qui galèrent dans l’ombre avec leur énergie en berne, à trouver des pistes pour aller mieux.

P.S. : Pour celles qui souhaiteraient essayer la Spiruline Fer d’Algorigin suite à ce récit, sachez que j’ai demandé à la marque un petit coup de pouce pour vous : avec le code promo CLEMENCE10, vous pouvez bénéficier d’une réduction sur leur site (je précise que je ne touche aucune commission – c’est juste un bonus solidaire 😉). Prenez soin de vous, et n’hésitez pas à partager entre femmes vos astuces et vos vécus : c’est comme ça qu’on avancera, ensemble.